« La concrétude des réalités empêche l'amalgame d'éclore de nos pensées.
"Je veux qu'avec Moi, chaque français cesse d'être tiré vers le bas, pour un monde plus juste, enrichi des altérités que bâtit la différence. Nous sommes le sel de l'avenir, sans nous un plat n'est qu'un ragoût et nous n'aimons guère le réchauffé.
"Ensemble, aidez-moi à faire cesser la démagogie dominante et opérons, ensemble, à une discipline plurisociale afin que cette présidentielle soit l'occasion d'un clash humanitoire. J'exige l'instauration d'une journée intimiste où tous les corps s'échangeront fraternellement, égalitairement et liberticidement.
"Il faut mobiliser vos talents aux sources semblables à un puits dont la source est tarie. Tarie par l'intolérance, le dogme et la droiture. Ensemble, aidons-moi à construire un monde neuf et total sur les ruines du totalitaire, au profit d'un totalitarisme de pureté,
d'un totalitarisme de sensualité,
d'un totalitarisme de solidarité,
d'un totalitarisme de projets,
totalitarisme du respect.
"je vous invite, bloggueurs aterrés aux rives de la réalité, à marcher sur ce sentier de mes mots et de néologismes dont je vous laisse la priorité ... à gôche [sic] »
28 commentaires:
L'immunité des cellules souches de la société doit intégrer le métissage des électrons libres et libérés.
Ce discours donne très envie de voter pour cette gente demoiselle au sourire si sincère.
:)
Bullitude de tes propos
Ô belle déesse des bobos
Seras-tu encor souveraine
Lorsqu'à l'Elysée tu décideras
D'exiger de tous la Haine
Et le Mépris de la Vodka?
Serait ce le diable derrière un visage d'ange?
Le diable tiendrait des propos plus compréhensibles afin de séduire davantage. Le discours de cette dame relève son manque de séduction, élément de base de Satan. Ne pensez-vous pas Kikou ?
Vous avez sûrement raison Néodyme.
Le diable utilise des paroles différente pour séduire et arriver à ses fins.
Mais sait ton jamais, les diablesses à visages d'anges ont plus d'un tour dans leur sac;
ne pensez vous pas Neodyme?
CANDIDATS OU EPICIERS ?
Pour Jean-Pierre Chevènement, Ségolène royal apparaît de plus en plus comme « La Jeanne d’arc d’une Europe qui protège ». Venant d’un revenant, cette comparaison à une femme qui n’est pas revenue de son bûché fait sourire ! Passons ce détail. Demain il faut faire un choix.
Les participants aux élections rivalisent d’imagination pour emporter les convictions : programmes, stratégies de communication, sites internet de campagne. Allons y faire un tour.
Ne voyez-vous rien de remarquable ? Sur le site de Ségolène Royal, vous trouverez entre autres son fameux "pacte présidentiel" dans lequel il y a tout, avec lequel elle a réponse à tout et qu’elle sort comme un joker en réponse à toutes questions : «La réponse est dans mon pacte présidentiel ». Maintenant allez sur celui de François Bayrou : beaucoup d’informations en vrac…puis celui de Nicolas Sarkozy, le plus visuel. Vous ne constatez toujours rien ? Je vais vous aider.
Allez visiter les sites des super hyper marchés U, des mousquetaires (les inter marchés), et de Shopi. Rien ne retient votre attention ? Alors maintenant regardez le site de Madame Royal et des mousquetaires, le site de Monsieur Sarkozy et des magasins-U, sans oublier le site de Monsieur Bayrou et Shopi. Etrangement, et je trouve cela inquiétant, les chartes graphiques se ressemblent. Ne trouvez-vous pas ?
Selon Desproges, Tout, dans la vie, est affaire de choix. Cela commence par : « la tétine ou le téton ? » et cela s’achève par « Le chêne ou le sapin ? ». Demain il faudra faire un choix dans l’isoloir. Quel épicier choisirez vous ?
Tout à fait juste, cher Julius Politicus. Je crois que vous résumez bien la situation !
sans doute Kikou. J'attends de voir ce que cette diablesse nous réserve d'angélique.
Chère Neodyne,
vous écrivez: "je vous invite, bloggueurs aterrés aux rives de la réalité...." alors moi j'ai une question importante pour madame Royale qui s'appelle en réalité Marie-Ségolène, mais qui n'a pas envie qu'on l'appelle la Marie, tien pardi!
oui ma question est :
Est il question de moule frites dans son "pacte présidentiel" parcequ'il n'y a que ça qui puisse m'intéresser chez elle ?
Merci de m'indiquer ou se trouve la réponse, je meurs de faim !
Léon de Bruxelles
Déesse des bobos pour les uns, diablesse au visage d'ange pour les autres, Madame Royal, par son image et son approche de la politique ne laisse personne indifférent.
En deux ans elle a renouvelé le marketing politique avec ses débats, renforcé l'image et la notoriété de son parti. Pourtant l'affaire n'était pas mince. Les sondages l'attestent, son discours séduit ! Certains voient même au travers de ses bourdes (tribunaux chinois, défense Française, Québec etc.) une subtile stratégie de communication pour se rapprocher du peuple : l'erreur est le lot commun, je suis comme vous, donc proche de vous.
Ce qui passe pour incompétence n'est-il pas finalement la manifestation d'une intelligence supérieure ? Son ramage se rapporte t-il à son plumage ?
Les faits le montrent, l’actualité aussi : la femme politique, pourvue qu’elle soit belle, n’a pas besoin d’être intelligente. D’ailleurs, pour peu qu’elle soit moche, elle a encore moins besoin d’être intelligente. Dans ce cas elle peut prétendre participer aux élections présidentielles.
A ce sujet je citerai la célèbre conversation qu’il y eut entre Ségolène, et François, la veille de leur noce de concubinage, à table.
« François, dit Marie Ségolène, ne souffrez-vous point que l’on vous donne pour concubine si pauvrette damoiselle ? Car point jolie ne suis et non plus par l’esprit ne brille.
_ Madame, répondit François, c’est très bien ainsi. Car si il y un truc qui ne va pas avec le boudin, c’est bien la cervelle. »
C'est charmant tout cela; seulement personne pour parodier son discours . Je remarque avec admiration que les lecteurs se révèlent tous fins politologues de l'espèce Femme publique.
La chasse aux canards doit être interdite, c'est pour cette raison que sera instaurée, des le 10 02 2011, une journée attrape chasseurs, consistant à mettre ces derniers sous les verrous. l'attrape chasseurs le plus fort obtiendra le prix de Grand coincoin. à l'issue de la victoire se déroulera une célébration fraternelle, ou seront conviés les ex choeurs de l'armée rouge pour cancaner l'internationale des coincoins vertueux !
Jolie Digression de Saturnette la fripette !
et bien je trouve que Saturnette a de très bonnes idées.
tu devrais te présenter pour la présidence ou au moins devenir premier ministre.
Bravo Saturnette.
ps : mais qu'est ce qu'elle raconte là la siglolaine pas très royale?
comprend rien là. elle parle pas canard un peux celle là? surement avec un gros accent autruche alors...
coin coin coin
Je compte bien te chasser de mon coeur petit Saturnet de malheur!
Non, je plaisante! coin coin coin
Merci Julius
Néodyme, j'attend avec impatience le prochain article !
tu restes dans mon coeur Saturnet, et je veux bien te garder comme ami coin coin!
merci saturnette, toi aussi tu restes dans mon petit coeur et pour rien au monde je ne voudrais perdre ton amitier.
milles coin coin coin coin
et rien que pour ça je ne voterais pas ségloglolaine car les canard ne se mélabge pas avec les autruches
L'attente est d'un peu moins d'un mois, mon cher Jules.
Quant à Saturnet et Saturnette, je leur conseille fortement de sceller leur union par un compte blogger commun, où ils pourront enfin déverser leurs cancaneries à l'air libre.
Suggestion de nom : Le canard ench...ha non c'est déjà pris !
La mare aux canards ?
à quand un nouvel article Néodyme?
alors cocote on perd son sang froid?
tu sais pour etre président il faut etre completement froid... moi qui pensait que tu l'étais... je ne me suis trompé que a moitier...
Extrait du programme: "Vous le savez. Je suis une femme libre et sincère. Je ne suis l'otage d'aucun clan, d'aucun groupe de pression, d'aucune puissance financière" --> C'est pourquoi j'en appelle à tous les électeurs qui, votant pour moi, me donneront ce pouvoir que je n'ai pas , ce pouvoir qui fera de Moi l'otage de mon pays, la flamme de vos vies, la corruptrice des compétitivités concurrentielles au niveau exponentiel de la CSG. Je vous aime ! Je donnerai du présidentiable à ceux qui n'en ont pas, Hallelujah.
je pense que ce soir cette horrible ségogo va avoir une bonne raclée bien méritée et je pèse mes mots! ho ho ho!
dis donc anonyme c'est qui la cocotte?
Et bien nous l'avons échappé belle!qu'en pensez-vous mamzelle Néo?
INTERVENTION DE M. NICOLAS SARKOZY
Ministre de l'Intérieur,
de la Sécurité Intérieure et des Libertés Locales
Mardi 24 juin 2003
Mesdames et Messieurs les Grands Maîtres
Mesdames, Messieurs,
1. Je suis heureux de vous accueillir ce soir au ministère de l’intérieur pour célébrer le 275ème anniversaire de la naissance de la franc-maçonnerie française.
La franc-maçonnerie est une grande école de pensée. A l’image du préambule de la future Constitution européenne, je veux rendre un hommage appuyé au rôle qu’elle a joué, et qu’elle joue encore, dans la diffusion et le rayonnement de valeurs humanistes de premier plan : l’égalité des individus, l’universalité de la nature humaine, la tolérance.
Je veux souligner sa contribution active à la construction d’un monde meilleur et au rassemblement des hommes autour des idées qui les ennoblissent. La franc-maçonnerie a toujours été présente aux grands moments de notre histoire pour conforter la démocratie et les droits de l’homme.
Je tiens enfin à vous dire l’estime que j’ai pour la rigueur de vos débats, votre souci de l’écoute mutuelle, votre appétence pour les positions équilibrées. Dans le respect de la diversité de vos obédiences, vous partagez une commune discipline dans l’analyse et une grande foi dans la raison. C’est d’abord en ce sens que vous êtes bien une école de pensée.
L’une des caractéristiques les plus remarquables de la franc-maçonnerie est l’universalité de ses idéaux. En témoigne, ce soir, la présence de représentants d’obédiences étrangères. A vous tous qui êtes venus vous associer aux cérémonies de vos frères et sœurs français, je souhaite une particulière bienvenue.
2. Dans ce ministère de l’intérieur, la franc-maçonnerie française est un peu chez elle.
I
Je ne dis pas cela parce qu’il y aurait – dit-on – beaucoup de maçons dans ce ministère. Je n’en sais rien et je ne tiens pas à le savoir. Vous tenez à la discrétion de vos engagements et plus encore au libre choix de chacun de révéler ou non son appartenance à la franc-maçonnerie. Croyez bien que je respecte profondément cette liberté. Je sais le prix dont vos prédécesseurs ont payé leur engagement maçonnique.
Si la franc-maçonnerie est chez elle au ministère de l’intérieur, c’est plus simplement parce que peu de ministères portent aussi bien les valeurs républicaines et que peu de familles de pensée s’identifient aussi bien à la République.
L’intérieur, c’est d’abord le ministère des grandes libertés : liberté d’association, liberté de réunion, liberté de conscience et d’expression, liberté du suffrage. Ces libertés ont toutes été le fruit de combats dans lesquels vous avez pris une part déterminante. Leur exercice nécessite une force publique. C’est le cœur des missions du ministre de l’intérieur.
L’intérieur, c’est ensuite le ministère de l’égalité, avec ce goût de l’organisation uniforme du territoire incarné dans cette grande figure de l’Etat qu’est le préfet. Un goût un peu excessif à mon sens, moi qui suis libéral et décentralisateur. Mais je sais discerner, derrière l’excès d’uniformité, le souci de préserver cet acquis majeur de la République : l’égalité des droits et l’égalité des chances.
L’intérieur, c’est enfin le ministère de la laïcité, cette neutralité de l’Etat qui permet à toutes les croyances de coexister, de s’exprimer et de débattre librement.
Non seulement la franc-maçonnerie a contribué à la consolidation de toutes ces valeurs, mais elle les pratique au plus haut degré d’exigence dans le fonctionnement quotidien de ses loges.
3. En ce début de siècle, le ministère de l’intérieur porte aussi des problématiques qui sont au cœur du débat public français dans lequel vous êtes si présents.
Il y a bien sûr la question de la politique de sécurité. Nous devions mettre en œuvre rapidement les réformes pragmatiques qu’attendaient nos compatriotes.
II
L’un des enjeux les plus essentiels de cette politique est la réaffirmation du rôle de l’Etat républicain dans la protection des plus faibles. La question de l’insécurité n’oppose pas les milieux favorisés aux milieux déshérités, mais bien plus souvent les milieux défavorisés entre eux. C’est dans cet esprit que nous poursuivons le combat contre la délinquance et la restauration de la capacité de l’Etat à garantir pour tous l’exercice des libertés.
Autre dossier d’importance majeure : l’immigration, qui va naturellement bien au-delà de la lutte contre l’immigration clandestine. Il met en relief les échecs de la politique d’intégration des générations issues de l’immigration. Il questionne aussi notre capacité à dépasser ces échecs et à rester ce pays ouvert qui a tiré de l’immigration une grande part de sa force et son rayonnement.
4. Face à ces sujets difficiles, j’ai suivi une méthode qui a suscité la surprise puis la curiosité. On attendait sans doute un ministre inflexible… C’eût été oublier le contexte particulier dans lequel ce gouvernement a été porté au pouvoir. Nous ne sommes pas arrivés ici au terme d’un affrontement traditionnel entre la droite et la gauche. Nous sommes ici en raison de l’affaiblissement de la confiance des citoyens dans l’Etat et de la perte des repères traditionnels, qui ont conduit des millions de Français à faire des choix électoraux dépourvus de sens.
Face à des sujets lourds pour lesquels les marges d’action n’étaient pas ouvertes à l’avance, j’ai choisi d’agir de manière équilibrée, dans la transparence, et en consacrant du temps à l’écoute de mes contradicteurs.
Ce souci de l’équilibre, cette volonté de rassembler autour des enjeux importants plutôt que de diviser sur des postures idéologiques, ne sont finalement pas très éloignés des méthodes franc-maçonnes ! Moi qui m’estime heureux lorsque j’ai plus de 24 heures pour régler une question, j’envie le temps que vous pouvez consacrer à l’analyse des problèmes et à l’élaboration de perspectives. Sachez que rien de ce que vous dîtes, dans l’expression de votre diversité, ne m’est indifférent. Sachez aussi, car c’est un principe qui vous est cher, qu’il n’est pas un jour où je ne doute pas…
5. Je voudrais terminer mes propos en vous parlant d’un sujet qui vous tient particulièrement à cœur : c’est celui de la laïcité.
III
La franc-maçonnerie a joué un rôle décisif dans l’affirmation du caractère laïc de la République. Chacun sait que les motifs d’un tel enthousiasme étaient complexes et non dénués d’intentions politiques. Historiquement, la laïcité c’est d’abord un combat pour la consolidation de la République contre la religion catholique supposée monarchiste.
La force de la loi de 1905 est d’avoir résisté à l’épreuve du temps, un temps au cours duquel les pratiques traditionnelles se sont effondrées, des religions inconnues en France sont apparues, la soif spirituelle est demeurée. Comment en serait-il autrement de notre condition humaine si fragile ?
Cette résistance, le texte de 1905 la doit à l’équilibre de sa rédaction, à la densité de ses concepts, aux ambiguïtés aussi de son élaboration. On ne peut le considérer qu’avec respect et envisager de le modifier qu’avec prudence.
Cette résistance, il la doit surtout à la force du concept de laïcité, dont le recto est la neutralité de l’Etat et le verso la liberté de tous les cultes. La laïcité n’est pas une croyance comme une autre. Elle est la croyance commune qui permet aux autres de se vivre dans le respect de l’ordre public et des convictions de chacun.
Comment ne pas voir que votre attachement à la laïcité est la conséquence même des valeurs maçonnes les plus fondamentales : la liberté de penser et le respect de l’autre ? Vous êtes dans votre rôle lorsque vous défendez la laïcité.
C’est un fait toutefois que l’émergence de l’islam pose question à notre modèle laïc.
Je ne pense pas que l’islam soit incompatible avec la laïcité. Et d’ailleurs de quel islam parlons-nous ? Il est si divers. Il ne serait de toutes façons pas question de changer la laïcité pour s’adapter à l’islam.
Mais notre modèle laïc n’est crédible et durable que si l’islam profite, lui aussi, du respect de ses croyances et du libre exercice de son culte. Or, ce n’est pas le cas. Nous devons veiller à ce que l’attachement à la lettre de la loi de 1905 ne nous conduise pas à en perdre l’esprit.
IV
Il est par exemple évident que la loi de 1905 pose une difficulté en ce qui concerne la construction des mosquées. L’utilisation du relais des associations culturelles n’est pas une solution claire et retarde, soi dit en passant, la création d’associations cultuelles musulmanes alors que nous y avons tout intérêt pour la transparence et le contrôle des financements. Bien sûr, on peut dire que, puisque l’islam est arrivé après les autres religions, il n’a qu’à s’adapter. Vous qui refusez le simplisme, vous savez très bien que les choses sont plus complexes. Au mieux, les musulmans prient dans les garages. Au pire, ils ont des mosquées financées par des pays étrangers.
Autre exemple : il n’y a pas d’aumôneries musulmanes dans les écoles. Il est pourtant évident qu’il y aurait moins de problèmes de voile s’il y avait des aumôneries.
Nous devons exiger de l’islam qu’il s’intègre dans la République et affirme son attachement à deux de nos valeurs fondamentales : la laïcité et l’égalité entre les hommes et les femmes. La religion n’est plus et ne doit pas redevenir un vecteur d’affirmation politique et identitaire. Mais nous ne pouvons pas exiger de l’islam qu’il adhère au respect de toutes les croyances, si nous-mêmes nous ne respectons pas l’islam.
La création du Conseil français du culte musulman est la première pierre de ce processus. L’islam devait avoir une représentation officielle comme toutes les autres grandes religions de notre pays. C’est respecter l’islam de France que de reconnaître la diversité de ses composantes et de les prendre toutes autour de la table.
Ce qui compte, c’est de préserver l’esprit de la loi de 1905. Car, pour reprendre une expression récente du Grand Maître du Grand Orient de France, « le fond du problème n’est pas la foi, c’est l’élimination de la foi des autres », et nous n’avons pas le droit d’éliminer la foi musulmane.
Je crois dans la force de la démocratie, de la prospérité et du progrès social, des droits de l’homme, de la tolérance. Un islam de France modéré et moderne peut triompher des tensions et des replis d’aujourd’hui. Je crois aussi que la laïcité sortira renforcée de ce défi.
Je vous remercie.
Enregistrer un commentaire